Étiévant, Georges. — Déclarations de G. Étiévant. — Paris : Révolte, 1893. — 29 p.
Étiévant, Georges. — Déclarations de G. Étiévant. — Paris : Révolte, 1893. — 29 p.
1re éd. ?. Autres éd. repérées (hors les traductions) :
L’édition de 1895 (Bruxelles) donne cette « Notice bibliographique » :
Cette brochure est la reproduction du discours que notre camarade Georges Etiévant avait l’intention de prononcer devant les juges de Vesailles, lors de son procès pour criée d’anarchie, le 27 juillet 1892 ; mais les magistrats, toujours effrayés de la propagande, refusèrent de laisser parler notre ami. Son discours fut, après la condamnation, reproduit par la Cocarde, puis imprimé en placard.
Nous donnons ici la liste, très incomplète, des éditions de la Déclaration d’Etièvant.
Défense d’Etiévant, imprimerie A. Berio, 9, rue Rodier, Paris, 1892.
Déclarations d’Etiévant, publiées dans trois numéros de La Révolte, en octobre 1982, — et en brochure, Paris, 1893, aux bureaux de La Révolte.
Traduction italienne dans le Sempre avanti de Livourne et L’Ordine de Torino, en octobre et en novembre 1892.
Traduction anglaise dans le Commenweal de Londres — 1892 — et en brochure, Londres, 1895.
Traduction espagnole, Declaraciones de J. Etiévant, publiée par le groupe « La Expropriacion » de Buenos Aires, janvier 1895.
Traduction portugaise, Jorge Etiévant : a minha defeza, dans « Bibliotheca anarchista », publiée par le journal A Revolta, de Lisbonne, 1892.
Traduction hollandaise, dans De Anarchist, La Haye, 1892.Notre camarade Etiévant est toujours dans la prison centrale de Poissy, interdisant à ses amis de faire aucune démarche pour sa libération.
En publiant cette troisième édition française de sa noble Déclaration, nous lui envoyons de tout coeur l’expression de notre solidarité et de notre cordiale affection.
Cette notice bibliographique est reprise — hors commentaires — dans la 5e édition de 1904 qui ajoute : « On connaît les derniers événements qui ont amené à nouveau, notre camarade Étiévant sous le coup d’une condamnation à mort. Mort, depuis, au bagne. »
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